vendredi 28 janvier 2011

Sommes nous des touristes racistes ?


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La stupidité du tourisme de masse est affligeante.Tous aux Maghreb, Maroc,Tunisie, Egypte. 
Entassons nous dans des Hotels et oublions les régimes dictatoriaux qui nous accueille.

Quelle fumisterie, quel aplomb ont certains hommes politiques où certains journalistes vantant les mérites de la révolution alors qu'eux-mêmes font partie de cette même masse de touristes décérébrés profitant de la misère du bon peuple.

Une nouvelle ère s'ouvre au pays du jasmin. Et ce n'est pas grâce à nous.

lundi 17 janvier 2011

Souvenir de mon travail à l'IME

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Voilà j'ai travaillé plus de trois ans dans un IME, institut médico éducatif, acceuillant des enfants et adolescents déficients mentaux. Trisomiques, autistes, maladies neurologiques etc....
J'en ai un bon souvenir :) je me suis bien amusé avec ces jeunes, c'était parfois dur, mais en me formant au métier d'aide médico psychologique j'ai pu appréhender avec plus de facilité les aléas de ce métier.
J'ai aujourd'hui tourné la page non sans tristesse de ce métier passionnant, manque d'expérience qu'on m'a dit ??? Malgré trois ans d'expérience et mon diplôme obtenue (merci à Laouadi Claudine).
Non mon truc c'est le dessin, l'actualité, la contestation, pas les réunions d'équipe qui ne servent que l'égo de certains. Les faux collègues qui vous plante un couteau dans le dos à la première occasion venue. La façon de certain (e)s de vous mépriser parce que vous venez d'ailleurs, parce que vous n'êtes pas issu du moule, parce que vous n'êtes pas formaté (Marie Christine Fernandez).
Maintenant je suis libre, plus d'allégeance à qui que ce soit, plus de collaboration avec des établissements maltraitants préférant la camisole chimique et l'ostracisme professionnel à l'intégrité intellectuelle.(merci Yves BARBE).
Et là pour conclure je dis vraiment merci aux jeunes qui m'ont bien fait rire durant trois ans et à qui je dédis ce dessin :p

samedi 8 janvier 2011

La séparation Belge

 
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En Belgique, le scénario de la séparation se précise

Entre les francophones de Wallonie et les néerlandophones de Flandre, les tensions ne cessent de s'accroître.

07.09.2010
C'est une « mission de médiation » qui ressemble à une mission de la dernière chance avant une éventuelle scission de la Belgique en deux Etats indépendants, la Flandre et la Wallonie. Le roi l'a confiée aux présidents de la Chambre et du Sénat, qui doivent trouver, à partir d'aujourd'hui, une solution au malaise. Car la Belgique, dont la devise est L'union fait la force, pressent désormais comme « possible » la dislocation du pays. Ainsi Laurette Onkelinx, la vice-Première ministre socialiste (le PS est le premier parti francophone) dit « vouloir s'y préparer plutôt que de la subir ». Depuis près de trois mois (les élections législatives ont eu lieu le 13 juin), le sort de la Belgique est entre les mains du président du premier parti de Flandre (29,5% des suffrages, 27 des 150 députés fédéraux), Bart De Wever, le leader nationaliste de la NV-A (Nouvelle Alliance flamande) qui prône avec force l'indépendance de la Flandre. Ses négociations avec le PS sur la formation d'un gouvernement fédéral ont échoué, la NV-A exigeant le transfert de trop de compétences fédérales (dont la justice, la sécurité routière, etc.) aux régions. Le parti nationaliste flirte avec les libéraux Il revendique pour la Flandre, de plus, une autonomie financière accrue, ce qui anéantirait le système de Sécurité sociale nationale et appauvrirait la Wallonie, selon le PS. La région francophone est économiquement plus défavorisée. La NV-A refuse aussi de refinancer Bruxelles, pourtant choisi par la Flandre comme sa capitale, alors que n'y résident que 5,3% d'habitants d'expression flamande. La Belgique est-elle donc sur le point d'imploser avec une Wallonie qui pourrait demander son rattachement à la France ? Ce scénario, encore considéré comme impossible il y a un an, commence bel et bien à s'écrire. De Wever et ses troupes nationalistes sont entièrement voués à la cause indépendantiste, inscrite dans leur programme. Bart De Wever, estiment les analystes belges, pourrait jouer le pourrissement de la situation politique pour forcer un retour aux urnes. Dans l'espoir d'empocher alors, non plus 29,5% des voix en Flandre, mais jusqu'à 50%, selon certains sondages. Cela forcerait la marche vers une séparation du pays même si, constitutionnellement, ce scénario semble difficile à réaliser. Officiellement, le parti nationaliste flamand dit « espérer un accord ». Mais il flirte désormais avec les libéraux, jusqu'à présent écartés des négociations (au profit des sociaux-chrétiens et des écologistes) pour tenter de former un gouvernement de droite radicale, en pointe sur les questions de l'immigration et de la rigueur budgétaire. 
Source : Le Parisien

Un de mes Tweet publié hier sur paper.li

http://paper.li/tag/melenchon

mercredi 5 janvier 2011

BES, Schizo Man

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Voilà mon ancien voisin, viré pour trouble de voisinage avant les fêtes il venait toutes les semaines nous présenter à ma femme et moi la rubrique nécro du Canton.
Fallait pas le contrarier schizo Claude, au risque de voir son cerveau abimé par la maladie et la chimie des traitements ce vriller. De sa bouche édentée ce déversé un flot ininterrompu de salamalec et élucubrations hypnotiques.
A la dernière nouvelle lui et sa moitié à dix kilomètres de là ont recommencé leurs cinéma auprès de leurs nouveaux voisins.
Bon courage à eux ;)

mardi 4 janvier 2011

Côte d'Ivoire

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 Abidjan vivait dimanche dans l'attente d'un possible assaut à "mains nues" des partisans de Laurent Gbagbo sur le quartier général de son rival Alassane Ouattara, reconnu président ivoirien légitime par une grande partie de la communauté internationale. Conférence de presse Guillaume Soro le 1er janvier 2011 à Abidjan AFP/Issouf Sanogo Charles Blé Goudé, leader des "jeunes patriotes", a demandé aux fervents partisans de Laurent Gbagbo de se tenir prêts à prendre d'assaut sans armes et à "mains nues", après le 1er janvier, l'hôtel du Golf qui sert de QG à Alassane Ouattara et au gouvernement de son Premier ministre...
Source: L'Express

lundi 3 janvier 2011

MMS

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   Pour souhaiter la nouvelle année 2011, un record de SMS ont été enregistrés mais pas seulement. En effet, les utilisateurs d’Orange ont eu la désagréable surprise de voir leur facture enflée suite à l’envoi de SMS ou de MMS pour ce premier jour de l’an. Les SMS envoyés pour la Nouvelle année 2011 ont été envoyés X fois aux mêmes destinataires entraînant pour beaucoup d’entre eux un dépassement de forfait autorisé. Orange n’a pas encore communiqué le montant de la facture suite à ce bug mais Orange annonçait ce lundi que les SMS envoyés X fois par erreur ne seraient pas facturés au client sans préciser les modalités pour se faire rembourser. Si vous avez été confronté au problème, renseignez vous chez votre opérateur qui vous donnera la marche à suivre. Si l’année 2010 a enregistré un record dans l’envoi des SMS, il y a aussi eu un record de bugs chez Orange !

dimanche 2 janvier 2011

Le racket des états par les banques.

De plus en plus de gens prennent conscience que notre système monétaire est contrevenant et que l'Europe a succombé aux banksters en s'interdisant de créer sa propre monnaie exempt d'intérêts. 
 
La dette des gouvernements, des entreprises et des ménages a atteint des proportions astronomiques et enfle de plus en plus démesurément de jour en jour.

15 août 1971
: dématérialisation totale de la monnaie.
Le président américain Richard Nixon, conseillé par George Shultz (qui sera plus tard le mentor des administrations Bush père et fils), supprime la libre-convertibilité du dollar en or. Ce découplage sera suivi de mesures de dérégulation des marchés permettant des spéculations de plus en plus énormes.

3 janvier 1973
: loi Pompidou-Giscard d'Estaing par laquelle la Banque de France abandonne son rôle de service public.
Article 25 : « Le Trésor public ne peut plus présenter de ses propres effets à l'escompte de la Banque de France. » Dès lors, sous prétexte de lutte anti-inflationniste, le recours au crédit productif public est interdit. 

Mars 1973
: régime des changes internationaux flottants.
Il n'y a plus de contrepartie métallique à la monnaie émise, seulement de la dette. Les spéculateurs peuvent s'en donner à coeur joie avec des produits financiers dérivés, en particulier sur les taux de change entre monnaies (on parie plusieurs fois sa mise, avec un effet de levier, moyennant des informations obtenues sur les pressions politiques exercées sur telle ou telle devise d'Etat).

1987
: Alan Greenspan combat l'effondrement des bourses mondiales par l'émission pratiquement illimitée de monnaie-crédit en faveur des marchés.

1992
: Traité de Maastricht. Prélude à un euro découplé de l'autorité des Etats.
Abdication de fait des souverainetés nationales par privation des moyens de les exercer. Son article 104, § 1, « interdit en effet à la BCE et aux banques centrales des Etats membres, ci après dénommées "banques centrales nationales", d'accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions ou organes de la Communauté, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des Etats membres ; l'acquisition directe, auprès d'eux, par la BCE, ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite. »

4 août 1993
: loi Mitterrand-Balladur donnant son indépendance à la Banque de France.
Son article 3 lui interdit d'autoriser des découverts ou d'accorder tout autre type de crédit au Trésor public ou à tout autre organisme ou entreprise publique, de même que l'acquisition de titres de leur dette.

Juin 1997
: Jacques Cheminade et Christophe Lavernhe rédigent Un plan de relance par le crédit productif, ou la nécessaire transformation de la monnaie en capital, expliquant comment les monnaies nationales sont prises en otage par les intérêts financiers depuis le renoncement de 1973 en France et le Traité de Maastricht à l'échelle européenne.
Rejet de la proposition d'avances par la banque de France au Trésor public pour un plan de relance économique, faite par un groupe parlementaire français, jugée contraire au Traité de Maastricht et au choix effectué en 1973.

12 mai 1998
: loi Chirac-Jospin, intégrant la Banque de France au Système européen de banques centrales (SEBC) et à la BCE.
Le Traité de Maastricht prévoyant déjà que « l'objectif principal du SEBC est de maintenir la stabilité des prix ».

1999
: vote aux Etats-Unis du Gramm-Leach-Bliley Act, qui annule le Glass-Steagall Act voté sous la présidence Roosevelt.
Désormais, il n'y a plus de séparation aux Etats-Unis entre banques de dépôt et banques d'affaires, et les banques sont autorisées à fusionner avec des sociétés d'assurance. Chute de la « muraille de feu » prudentielle. L'Europe, elle aussi, déréglemente.

Mai 2005
: rejet par le peuple français du Traité constitutionnel européen qui, dans son article III-181, aurait « constitutionnalisé » l'article 104, § 1 du Traité de Maastricht.

2007-2008
: le Traité de Lisbonne reprend (article 123 du Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne) l'article 104, §1 du Traité de Maastricht.
L'objectif est bel et bien d'abandonner la création monétaire aux banques privées, dans un contexte de mondialisation financière sans limites.