La presse libre n'existe pas. Vous chers amis, le savez bien, moi je le sais aussi. Aucun de vous n'oserait donner son avis ouvertement. Nous sommes les pantins qui sautent et qui dansent quand ils tirent sur des fils. Notre savoir faire nos capacités et notre vie même leur appartiennent. Nous sommes les outils et les laquais des puissances financières derrière nous. Nous ne sommes rien d'autre que des intellectuels prostitués.
John Swalton, éditeur du New York Times lors de son discours d'adieu.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire